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Carole va au cinéma

Carole va au cinéma
  • Mes avis sur les films, parce qu'il m'arrive d'avoir un peu de temps pour aller au ciné ou pour allumer la télé ;-) N'hésitez pas à commenter les articles, à échanger autour des films !
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5 août 2012

Madagascar 3 : Bons baisers d'Europe (2012)

J'ai déserté un moment les salles (boulot et vacances obligent) mais une journée avec un ptit bonhomme et nous voilà plongés dans le noir face à un lion, une girage, un hippopotame et un zèbre !

Madagascar 3 nous plonge en Europe... ou plutôt dans la version de l'Europe vue par les ricains... (Monte-Carlo, Rome et Londres)

Cela dit, rien que pour Rome, c'est à voir ! Quelques scènes marrantes qui jouent avec l'art Italien, ça vaut le coup d'oeil.

Si, comme moi, vous n'avez pas vraiment vu les Madagascar 1 et 2, vous prenez le début du film avec un petit handicap : Les pingouins abandonnent les autres en Afrique, mais on ne sait pas trop pourquoi : Les animaux n'auront alors plus qu'un but en tête : rentrer à New-York. 
Les voilà partis dans une folle aventure mais leur objectif sera compliqué par la vilaine (très vilaine) chasseuse d'animaux et leur rencontre avec des animaux de cirque. 

Conclusion : ça se laisse regarder, c'est même plutôt sympa. Les enfants dans la salle n'étaient pas franchement pliés de rire mais quelques danses font leur effet et il y a quelques repliques sympas (pour les adultes)

Un film d'animation familial, dans la lignée des précédents 

 

 

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11 mai 2012

Real steel (2011)

Ha ha !! Un film d'action avec des robots ! 

Impression première : "Comment vais-je survivre à cela ?"

Puis : "Vu la tête des enfants, on va leur faire plaisir et regarder ce film"

Puis encore : "Punaise, c'est super sympa"

Et on en redemande !

L'histoire (qui tient debout, contre toute attente) c'est celle d'un homme, Charlie Kenton, (joué par Hugh Jackman) ancien boxeur professionnel un peu associal qui entraîne désormais des robots. Oui, il faut savoir qu'en 2030, les robots ont remplacé les hommes sur le ring. 

Fauché, paumé, mais toujours droit dans ses bottes, il découvre avoir un fils, Max, qui a 8 ans. (Dakota Goyo)

Les deux vont devoir faire équipe : ils vont se découvrir, se comprendre et tenter le championnat avec leur très vieux robot qui semble n'avoir aucune chance face à l'imbattable énooooorme gros robot noir au nom japonais.   

Tout cela sur fond de batailles de robots (pas question de morale là, puisque les robots n'ont pas mal) et d'humour, on est face à une histoire familiale tendre et attachante. 

Shawn Levy est un habitué des comédies familiales mais il signe là son premier film d'action, vivement la suite !

(et pour les fans de la série LOST, on retrouve Evangeline Lilly, plus jolie que jamais) 


Real Steel : bande annonce #2 VF

11 mai 2012

Café de Flore (2012)

Alors là, ça doit être du cinéma d'auteur, du grand Art ... mais ce fût une torture de le visionner en entier ! 

L'affiche donne envie : Vanessa Paradis qui serre dans ses bras un enfant, dont on ne voit pas le visage mais rien qu'à voir celui de sa mère, on sent tout l'amour entre ces deux-là.

On met le film et là... patatras, on suit l'histoire d'un type (Kevin Parent), je ne me souviens même pas de son prénom, un DJ de renommé international, fou amoureix de sa compagne, mais toujours follement lié à son ex. Ex que l'on suit aussi, dans des scènes toutes plus surjouées les unes que les autres. 

Et puis, enfin, Vanessa Paradis, couronnée des prix de la meilleure actrice au Canada et à Quebec. Rarissime nous dit-on ! Son rôle de mère d'un enfant trisomique, pour laquelle est devient vite seule à se battre est effectivement bien interprêté mais la performance à saluer est celle d'Helene Florent (Carole dans le film) mais la pauvre, elle tient le film à elle seule. Avec ça, on ne peut pas faire de miracles. 

L'alternance de scènes silencieuses, de bruit, et d'orgasmes hurlés est vite attendue et insupportable.

Je vous passe les séances chez le psy qui boit de la vodka et qui permet de faire dire 3 mots à Antoine (ça me revient, le type doit s'appeler Antoine)

Le réalisateur, Jean-Marc Vallée voulait croiser 2 histoires d'amour, à 2 époques différents, dans 2 pays différents pour nous montrer, enfin je crois..., que l'amour est complexe, souvent inachevé et brutal. Qu'il peut être conjugal ou parental. 

Sous pretexte de réflexions sur le sentiment d'amour, et à coup d'effets cinématographiques too much, de rêves décalés et de psychanalyse de comptoir, JM Vallée nous pond un film lamentable, sur fond d'enfant trisomique, ce qui est dérangeant parce qu'on a vite le sentiment qu'il est là pour rajouter un peu à ce scénario et ce montage qui tentent de faire un film d'auteur par excellence. 

Le pitch : "Il est difficile de dire au revoir à ceux que l'on aime... Il faut parfois une vie... voire deux"

Et bien, pitié, 1 film, c'est largement !! Le seul truc qui rend le film supportable c'est le duo mère-fils. 

Ah oui ! C'est le genre de film dont la fin éclaire tout le reste, et qui normalement vous laisse sans voix, et bien, même cela, ça ne marche pas. Cela dit, vu l'ennui qui a été le mieux, je dois avoué avoir décroché un paquet de fois ! 

En résumé, Fuyez !


Café de Flore Bande-annonce

11 mai 2012

Polisse (2011)

Filmé comme un documentaire, le film a un air un peu cinglé, comme sa réalisatrice, Maïwenn. Mais du genre de cinglé qu'on adore ! 

On s'en prend plein la gueule, on se marre, on s'enerve, on est ému. 

Inattendu, Joey Starr dans le rôle d'un flic, (bon, pas tout calme non plus, le flic...), et une pléiade d'acteurs tous géniaux dans leur rôle : Karin Viard, Marina Foïs, Nicolas Duvauchelle... et Jérémie Elkaïm (tiens, le revoilà, lui !)

Le quotidien de la brigade des mineurs nous est dévoilée, montrée, parfois avec lourdeur dans ce film, basé sur une succession d'histoires vraies. 

A la radio, j'avais entendu l'un des vrais policiers de la bridage qui disait "c'est dingue, c'est nous !"

On prend alors conscience de leur travail, parfois terrifiant et des mineurs, souvent terrifiés, maltraités et mal accompagnés. 

Un film à voir absolument, mais peut-être dans une période de grande sensibilité, en particulier par rapport à la condition des enfants (ou des flics !)

Petite remarque, avant de transmettre la bande-annonce, le film a été nommé à Cannes et à reçu le prix du jury. 


Polisse - Teaser HD

11 mai 2012

Extrémement fort et incroyablement près (2012)

Hmmm... Difficile de faire une critique de ce film. 

Déjà, c'est un Stepehn Daldry, avec Tom Hanks, sur le 11 septembre... 

En plus, les critiques médiatiques, celles des mecs qui sont payés à réfléchir sur des films sont mitigées mais les spectateurs ont l'air séduits. 

Moi, j'avoue que je n'ai pas été hyper sensible : Evidemment, on est touché par cet enfant, Oskar Schell, 11 ans. Et par la situation, qui est celle des attentats meurtriers des tours du World Trade Center. 

Mais, et c'est probablement à cause de ce que je connais, par le métier pour lequel je suis payée à réfléchir ; pour moi, les projections avec les émotions de l'enfant ne fonctionnent pas. 

Cela dit, ça vaut quand même le coup d'oeil parce que traiter la douleur des familles qui ont perdu un proche le 11 septembre avec ce point de vue là, il fallait y penser et il fallait oser ! Et là, on ne peut rien reprocher au film.

On l'aura compris, le 11 septembre, "le jour noir" comme l'appelle Oskar, les attentats : son père meurt. Père avec lequel il entretenait une relation très forte, voire fusionnel et père qui était clairement son repère essentiel. 

L'enfant entre dans un deuil merdique, presque non faisable. Puis, il trouve une clef, caché dans un vase bleu, posé au fond de l'étagère dans le dressing de son père. Avec un nom. Juste un nom. "Black".

Père et fils étaient partis à la recherche de la connaissance, et avaient construit autour de leur mission, un lien fort de sens.

Oskar décide donc de partir à la recherche de ce "Black", à travers tout New York.

Il va devoir s'appuyer sur tout ce que son père lui a enseigné, des techniques mais surtout du surpassement de soi. Parce qu'Oskar n'est pas un enfant comme les autres. 

Il fera une rencontre, "le locataire" de sa grand-mère, des rencontres, et va découvrir peu à peu qu'il peut survivre à son père, malgré l'écroulement de son monde. 


2012 au cinéma : Extrêmement fort et incroyablement près

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11 mai 2012

Et ce film, tu l'as vu ?

Si vous voulez me faire partager des commentaires sur des films que vous avez visionné, c'est avec grand plaisir et c'est par ici !

9 mai 2012

Critiques à venir...

J. Edgar

Beur sur la ville

La guerre des boutons (version Chabat)

Dolphin Tale

Titanic (3D)

17 filles

Six feet under

Tu seras mon fils

De bon matin

Toutes nos envies

A dangerous method

Projet Nim

Des vents contraires

Les femmes du 6è étage

Cinéma Vérité

Trust

Présumé coupable

De force

Un monstre à Paris

9 mai 2012

Les adoptés

Un film de Mélanie Laurent, avec Mélanie Laurent mais pas que !

Une famille de 3 femmes : Une mère adoptante, deux filles adoptées, filles qui s'adoptent elles-même en temps que soeurs. Pas de père, pas d'homme... Si ce n'est ce petit garçon, dernier de cette lignée particulière mais dont on ne sait rien du père. 

Des relations intenses, vraies, qui semblent permettre à ces 3 femmes de survivre à tout et à tous. 

Jusqu'à ce qu'arrive, amené par la pluie, Alex. 

Alex séduira Marine, au grand desespoir de Lisa, mais encouragé par Millie. Ne me demandez pas qui est qui parce que c'est plus compliqué que cela, la vie : Les liens du sang, les liens de l'amour, les liens de la famille... 

Chaque personnage avait trouvé une vie possible, semble t-il, où les failles, les blessures étaient bien cachées. Mais Alex vient faire bouger le puzzle. Il va falloir que chacune recompose ses repères avec cette pièce supplémentaire, ajoutée elle aussi. 

Et puis, à nouveau, un bouleversement, un drame et on recommence : la mécanique de l'adoption doit recommencer, mais sera t-elle possible, cette fois ?

Pour son premier long métrage, Mélanie Laurent, tantôt actrice, tantôt chanteuse s'entoure d'acteurs dont on se souviendra : Marie Denarnaud, magnifique, en particulier quand elle aime, Denis Menochet, homme parmis les femmes et meilleur espoir masculin du prix des Lumières de la presse étrangère et Clémentaire Célarié, en mère qui se bat avec force et douceur. 


LES ADOPTÉS : BANDE-ANNONCE Full HD de Mélanie Laurent

9 mai 2012

Cellule 211

Film espagnol de Daniel Monzon, 2010 :

Juan, un jeune homme, marié-amoureux et bientôt père veut faire bonne figure dans son nouvel emploi : gardien de prison. 

Il décide alors de se présenter la veille de son embauche officielle, afin de rencontrer ses collègues et de visiter les lieux. 

Tout bascule lorsqu'une rebellion surgit parmis les prisonniers : Juan se retrouve au coeur de l'émeute et est enfermé dans une cellule, la numéro 211. 

Pour sauver sa peau, il se fait alors passer pour un nouveau detenu. Il va vivre l'enfer brulant de l'intérieur, et devenir un proche du leader de l'insurrection. Tout pourrait se passer sans trop d'embûche mais l'affaire prend une tournure politique quand des membres de l'ETA sont pris en otage. 

C'est une longue descente aux enfers qui s'annonce et nous, spectateurs vivont avec Juan les choses, des 2 côtés de la barrière. 

Ce film est une excellente surprise que j'ai hésité à classer dans "les films qui changent quelque chose". 

Si je ne l'ai pas fait, c'est parce que je n'ai pas repensé régulièrement à ce film. Toutefois, il m'a secoué, parce qu'il nous renvoie à ce qui a de bon et de mauvais en nous, en chacun de nous. Qu'aurions-nous fait dans la situation de Juan ? Je ne suis pas certaine que nous aurions su facilement choisir notre camp. 

A visionner de toute urgence ! Attention quand même à ne pas laisser les enfants devant, la violence étant présente : autant réelle que suggérée (mais jamais là en trop).  


CELLULE 211 : BANDE-ANNONCE VOST

9 mai 2012

Sur la piste du Marsupilami

Aïe ! 

Après les Nuls et la très fameuse "Cité de la peur" et le grand "Astérix et Cléopâtre", j'attendais Chabat au tournant : Avec une telle promo, dans tous les médias, on pensait que le Marsupilami allait être dans la même veine mais.. pas du tout !

A part une scène où j'ai ri (je dois avouer que j'étais la seule de la salle à ce moment là, mais j'ai clairement revu le personnage de "Karamasov, aucun lien"), quel ennui ! 

Le bal des acteurs connus et reconnus n'y change rien. Même mon fils de 8 ans s'est ennuyé. 

Bon, l'histoire... C'est quoi l'histoire déjà ? Ah oui, le Marsupilami existe, quelque part en Palombie. Un journaliste (Alain Chabat) qui a besoin d'un scoop pour garder son boulot fait affaires avec un mec criblé de dettes (Jamel Debbouze) qui est au moins aussi menteur que lui. Il va sans dire qu'ils vont traverser la jungle, se mettre dans des situations impossibles et rencontrer un paquet de méchants et de gentils. 

Une aventure qui n'en a que le nom et le scénario original mais qui ne décolle pas, malgré les gros moyens mis sur le coup et les acteurs qui nous ont tant fait rire, par ailleurs. 

Quelques sourires quand-même mais j'hésite à vous mettre la bande annonce, craignant que vous n'y voyiez la majorité du film...

 Film d'Alain Chabat, 2012
SUR LA PISTE DU MARSUPILAMI : BANDE-ANNONCE Full HD

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